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Asthme allergique chez le chat

 

L'ASTHME ALLERGIQUE CHEZ LE CHAT

 



C'est, comme chez l'homme, une maladie respiratoire qui peut apparaître soudainement, et qui provoque des contractions des muscles lisses au niveau des bronches.

 

Les symptômes sont sous forme de difficultés respiratoires sous formes de crises.

Notre animal peut avoir du mal à respirer, avec des inspirations forcées, parfois sifflantes, et des expirations brèves. On constate également des crises de toux plutôt sèches.

Lorsque l'affection devient chronique, on peut constater la persistance d'une toux et attention, il peut y avoir des surinfections bactériennes.

 

Cela peut être du a des réactions allergique aux pollens, acariens, squames humains, parasites, produits ménagers, fumée de cigarette, etc...

 

Votre vétérinaire pourra constater cette maladie en réalisant une radiographie thoracique révélant des lésions pulmonaires et bronchiques caractéristiques.

Un lavage broncho-alvéolaire (LBA)  consiste à injecter du liquide physiologique dans la trachée sous endoscopie afin de récupérer les mucosités présentes dans les bronches.Il met en évidence le type d'inflammation auquel on a affaire et à l'aide d 'ne culture bactérienne ainsi qu'un antibiogramme pour évaluer les résistances des bactéries au cas où une surinfection pulmonaire serait survenue.

 

Les traitements :

Le plus simple consiste à détecter l'élément allergène qui provoque ces crises et le supprimer.

Mais bien souvent, il est très difficile de l'identifié, et de l'éradiqué (si cela est du aux pollens ou même aux acariens.

Un traitement au long terme est donc indispensable consistant en l'administration de corticoïdes et de broncho-dilatateurs.

Les antibiotiques sont utilisés uniquement en cas de surinfections bactériennes.

 

Il existe aussi des traitements plus naturels homéopathique :

Granules de Carbo Végétalis 30 ch (BOIRON), HOMEOPULMIL GA à diluer, Rescue, etc...

Mieux vaut se rapprocher d'un vétérinaire spécialisé pour trouver le traitement le plus adapté et le plus efficace.

 

Il faut savoir que les traitements à base de corticoïdes (mégasolone 5 par exemple) sont beaucoup moins naucif à long terme chez le chat que chez l'homme. Cependant, selon le dosage il provoquera des problèmes rénaux et digestifs avec l'âge.


18/05/2013
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Le Coryza

Le Coryza du chat

 

 

Le coryza est une maladie assez répandue chez le chat, due à l'association de plusieurs virus et bactéries.

 

Trois virus sont bien connus :

 

- Un virus de la famille des "herpes virus"

Il provoque une infection du nez et des voies respiratoires.

Les symptômes sont la toux, l'éternuement, écoulements au niveau du nez et/ou des yeux, conjonctivite, fièvre, affaiblissement de l'appétit.

Si votre chat présente ces symptômes, un petit tour chez le vétérinaire est indispensable.

Si aucun traitement n'est mis en place, ce virus peut être très violent.

 

- Le calicivirus

Il provoque des ulcères dans la bouches.

Les symptômes sont la fièvre (accompagnée d'un abattement général), écoulements oculo-nasaux, plaques rouges sur la langue et/ou gencives.

Ce sont des plaies qui peuvent provoquer une salivation importante et un perte d'appétit.

Consultez aussi rapidement votre vétérinaire!!!

 

- Le réovirus

Il provoque des larmoiements.

Il est bénin, un collyre peut suffir.

Si les symptômes perdurent, consultez!

 

 

Le Coryza est extrèmement contagieux, avec une periode d'incubation pouvant aller de 2 à 5 jours.

 

Le traitement pour soigner votre compagnon, se fait généralement par l'administration d'antibiotiques (injections, comprimés, gouttes).

Il existe également l'aérosolothérapie, qui consiste à faire des inhalations 2 à 3 fois par jours pendant 5-10 minutes... Enfin si votre chat le supporte!!

Pour celà, mettez votre chat dans la cage de transport, à distance un bol d'eau très chaude avec une ampoule de "Pul Phyton" (ou autre...), et recouvrez d'un drap.

 

Un vaccin existe, mais ne couvre pas tout les risques.

(n'oubliez pas le rappel à faire tous les ans)

 

Un chat guéri, peut rester porteur pendant plus d'un an, et le stress, une mise-bas, ou une autre maladie, peuvent le rendre à nouveau contagieux.

Dans ce cas, ou dans le cas d'un Coryza chronique, il existe des antiviraux (interférons).


05/04/2012
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Les ancêtres et les étapes d'évolution du chat

 

 

On considère que le "Miacidé" vivant au début l'ère tertiaire il y a 50 millions d'années est l'ancêtre commun au chat et au chien.

 

Image d'un "miacidé"

 

Le "Proailurus" fait son apparition il y a 40 millions d'années. De morphologie similaire au chat, il se déplace cependant sur la plante des pieds alors que le chat marche sur les doigts.

 

image du "Proailurus"

 

Le "Pseudoailurus" apparaît il y a 25 millions d'années. Sa denture est comparable à celle du chat, avec des canines longue et très tranchantes. Il se déplace sur les doigts (digitigrade).

 

image du "Pseudoailurus"

 

 

Les Pseudoailurus émigrèrent ensuite de l'Eurasie vers l'Afrique, puis vers l'Amérique du Nord.

Cette espèce se diversifie et donne naissance aux "Machairodus" et aux "Smilodons", carnivores aux dents en forme de sabre, qui ont donné les félidés modernes.

 

  

Image du "Smilodon"

 

Il y a 12 millions d'années, les félins se développent un peu partout dans le monde :

- des tigres en Chine

- des lynx en Europe

- des chats sauvages (comme le manul) en Asie

 

A partir de 5 millions d'années avant notre ère, on distingue deux grandes familles chez les félidés.

Les petits félins : Félinés

Et les grands félins : Panthéridés

 

En Europe, on compte aujourd'hui plus de 42 millions de chats partageant notre vie.

 

 

image provenant du site http://www.cosmovisions.com

 


18/02/2012
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Accueillir un deuxieme chat à la maison

 

 

 

Les conseils pour l'accueil d'un deuxième chat dans le foyer :

 

 

 

- Prendre son temps, car l’acclimatation d’un nouveau chat peut prendre quelques semaines.

 

- Si vous le pouvez, installez le nouveau venu dans un lieu "privé" pour qu'il se sente en sécurité et que des liens affectifs commencent à se tisser avec vous.  Evitez les contacts avec l'autre chat.

 

- Passez du temps avec lui, en jouant, le caressant et en s'occupant de lui. N'oubliez pas de bien partager votre temps avec la nouvelle boule de poils et votre chat actuel afin que ce dernier ne se sente pas exclu et éviter le sentiment de jalousie.

 

- Séparez les espaces de nourriture entre vos chat, et petit à petit rapprochez (sans contact direct, à travers une porte par exemple) les afin que chacun puisse associer le plaisir de manger avec la présence de l'autre.

 

- Laissez le nouveau venu explorer la maison en l'absence de l'autre chat. Quand il commencera à vraiment se sentir chez lui (quelques jours), les présentations pourront se faire.

 

- Votre présence est indispensable lors de la rencontre. Il est très problable qu'une certaine méfiance voir une hostilité soit présente. Essayez de faire les présentations à l'heure des repas.

 

 

- Si vous voyez que l'agressivité monte, séparez les. Recommancez jusqu'à ce que l'entente soit meilleure.

 

- Les rencontres aux heures des repas ne sont pas indispensable, mais peut favoriser les premiers contacts.

 

 

- Carressez les chacun à leur tour, afin qu'ils s'habituent plus rapidement à leurs odeurs respectives.

 

- Il est préférable de séparer les litières, au moins au début. Si l'entente est bonne entre vos deux chats, vous pourrez n'en laisser qu'une seule.

 

 

Il faut savoir qu'en moyenne, l'adaptation se passe mieux lorsque l'écart d'age n'est pas trop grand, et lorsque le sexe de vos deux compagnons est différent.

Malheureusement il arrive parfois que des chats ne s'aiment pas, sans raison particulière.

Heureusement, le plus souvent, il s'entendent, plus ou moins bien!

 

 

En ce qui concerne la rencontre entre Moskito et Bahia, elle s'est plutôt bien passée. Au début, Moskito avait un peu de mal à l'accepter, et avait des réactions un peu violentes.

Aujourd'hui ils s'entendent à merveille, et sont devenus de vrais partenaires de jeu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


15/08/2011
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Un félin méconnu... Le manul

 

Le manul, ou chat de pallas

 

 

 

 

Les particularités physiques du manul sont ses oreilles placées relativement bas sur sa tête qui elle même est assez aplatie. Sa fourrure est très épaisse et dense et le protège du froid, elle est deux fois plus épaisse sur son ventre et sa queue.

Sa robe peut varier selon son habitat, du gris pâle au brun ou même roux. Sa tête est mouchetée de noir et la queue est annelée de noir.
Le manul mesure entre 70cm et 96cm et sa hauteur à l'épaule est d'neviron 30cm. Il pèse généralement de 3 à 4.5kg, c'est un petit félin.

Mais malgré sa ressemblance avec le chat domestique, il est impossible de l'apprivoiser.

 

 

On peut le trouver principalement en Mongolie d'où il tient son nom car les mongols l'ont nommé ainsi. Son nom courant est "chat de Pallas" (Otocolobus manul), il tient ce nom depuis 1776 du naturaliste allemand Peter Pallas.

Il habite également en Chine, Inde, Iran, Arménie, et dans une grande partie de l'Asie. Il aime les prairies arides et froides d'Asie centrale et on le trouve jusqu'à 4800 mètres d'altitude. Il est également à l'aise dans les déserts d'altitudes et recherche les affleurements rocheux.
Il évolue avec facilité et agilité dans son milieu et escalade rochers et falaises.

 

 

En période de reproduction, son cri ressemble à un petit chien ou au hululement d'une chouette. Il peut utiliser comme tanière des cavités rocheuses ou des terriers de marmotte, pour mieux se reproduire isolé du monde exterieur.

La gestation dure une soixantaine de jours. En moyenne, 3 bébous naissent par portée, la durée de gestation étant assez courte les manuls peuvent se reproduire plusieurs fois dans l'année mais c'est souvent entre les mois d'avril et mai qu'ils s'accouplent. A deux mois les petits perdent leur duvet et à 8 mois ils deviennent adultes et peuvent ainsi se débrouiller sans l'aide de leur mère. Leur maturité sexuelle apparait à partir de 10 mois environ.

 

 

Le manul chasse au crépuscule, il se nourrit de petits mammifères : lièvres, souris, pikas, marmottes, écureuils mais aussi des oiseaux. Ses grandes oreilles lui permettent une meilleure ouïe et une amplification des sons, il repère ainsi vite les proies qui sont dans ses entourages.

 

 

Il est extremement difficile de rencontrer un manul, étant très discret. La chasse de cet animal est interdite en Iran, Inde, Kazakhzstan, Pakistan, Ouzbékistan, Arménie Kirghizizstan, Mongolie, Russie et même en Chine où il a presque disparu.

 

 

 


06/08/2011
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le FIV ou le sida des chats

Le FIV ou Sida du chat.

 

 

 

Le Virus de l'immunodéficience féline (VIF ou FIV, qui vient de l'anglais Feline Immunodeficiency Virus), appelé aussi le sida du chat est génétiquement, morphologiquement, fonctionnellement et pathologiquement similaire au HIV, mais il n'y a aucun risque de transmission du chat à l'homme ou à d’autres espèces.

 

La maladie est due à un lentivirus (sous-groupe des rétrovirus), c’est une maladie virale grave, mortelle. Elle est responsable d'une immunodéficience qui rend le chat vulnérable aux infections. 

 

Cette infection est variable suivant les populations de chats. Elle est rare chez les chats d'appartement n'étant pas au contact d'autre collègues, alors qu'elle est fréquente chez les chats errants (entre 11 à 15 % des chats des rues sont porteurs du virus, soit plus d'un million de chats en France).

 

En fait, le chat  n’est pas le seul atteint par le FIV. Au moins 10 espèces félines sont affectées par des souches virales spécifiques : lion, jaguar, puma, tigre, panthère, guépard, lynx, léopard, chat à tête plate et manul. Pour les autres espèces, on ne dispose pas assez de test pour conclure. La contamination de ces félins sauvage peut-être préoccupante car certains d’entre eux sont menacés localement de disparition.

 

 

 

Les symptômes ?
 
Parmi les symptômes à surveiller, on peut noter une diminution de l’appétit, des vomissements, de la diarrhée, une perte de poids, de la faiblesse, des morsures, des plaies infectées, de la fièvre, des ganglions enflés, etc...

 

Les symptômes les plus généraux sont la fièvre, l'amaigrissement, l'augmentation de taille des ganglions lymphatiques, des infections buccales (gingivite par exemple), des diarrhées chroniques qui ne guérissent pas malgré la mise en place de traitements, des infections des yeux (conjonctivites par exemple) ou de l'appareil respiratoire supérieur (rhinites par exemple) ; des abcès cutanés récurent, des troubles nerveux ou des troubles comportementaux.

 

Enfin, lorsqu'un chat est atteint par le Sida des chat, il développe le plus souvent en phase terminale des cancers du sang (leucémies par exemple).

 

Transmission

 

Les infections sont plus nombreuses pour les chats en liberté à l’extérieur que pour ceux vivant dans des environnements fermés.

 

Le virus étant présent dans la salive, le principal moyen de transmission est donc la morsure lors de bagarres entre chats, c'est pourquoi ce sont principalement des chats mâles non stérilisés qui sont contaminés, le plus souvent lors de combats pour un territoire ou pour la reproduction.

 

Il peut également parfois se transmettre entre chats lors de contacts fréquents et répétés (lors de léchage mutuel, de "nez à nez", de partage de la gamelle ...) ou par voie sanguine.

 

Il peut exister également une transmission par voie sexuelle ou lors de la gestation, mais aucune certitude n'est établie au sujet de la transmission fœto-maternelle.

 

Le virus est très fragile dans le milieu extérieur : il y survit quelques dizaines de minutes maximum. La contamination des lieux (par des objets, par le sol) est presque impossible, surtout s'il y a une désinfection sérieuse après le passage de chaque chat. Votre vétérinaire peut vous aider à donner les soins appropriés à votre chat. Grâce à une détection précoce de l’infection, il est possible de maintenir votre chat en santé et de prévenir la transmission de l’infection à d’autres chats.

 

La prévention et le dépistage de la maladie

 

Les virus du FIV et du FelV sont les causes majeures de maladie et de décès chez les chats. Ils affaiblissent le système immunitaire. Ils sont transmis d’un chat à l’autre et sont contagieux. Souvent, ils ne créent pas beaucoup de signes apparents et même des chats qui semblent en bonne santé peuvent être porteurs de l’infection et transmettre les virus à d’autres chats. Ils ne se transmettent pas à l’humain. Une mère infectée peut infecter ses chatons.

 

Sans test, on ne peut pas savoir si un chat est infecté ou pas et si on ne connaît pas le statut d’un chat, il peut être porteur et transmettre la maladie à d’autres chats. Il est donc important de dépister cette maladie surtout chez les animaux à risque (chats mâles entiers, chats errants, origines inconnues ou parents sortant et/ou non testés) et les nouveaux arrivants. Cela est notamment indispensable dans les élevages ou les chatteries. Le dépistage peut être réalisé par votre vétérinaire : c'est un simple test qui nécessite deux gouttes de sang de votre chat et dont le résultat est disponible en dix minutes. Il coûte généralement environ 40 euros, mais teste également la leucose (test FIV et FeLV).

 

 

Même si la contamination n'est pas systématique et que plusieurs chats peuvent vivrent avec un chat infesté pendant longtemps sans être contaminés, la prévention la plus efficace passe par l'évitement de tout contact entre chats.

Il est aussi recommandé de faire stériliser les chats (mâles ou femelles) qui sortent afin d'éviter les bagarres (et donc les morsures) et la transmission vénérienne du virus.

Un vaccin contre le FIV est commercialisé en Amérique du Nord depuis quelques années. Son efficacité est incomplète et son utilisation encore controversée. En Europe, il n'y a pas de projet de commercialisation de ce vaccin qui a été développé avec des souches virales présentes essentiellement en Amérique du Nord.

 

Le traitement de la maladie

 

Il n'existe aucun traitement pour détruire le virus FIV.

La seule possibilité pour améliorer la vie du chat est de traiter les maladies opportunistes au fur et à mesure qu'elles atteignent le chat. Mais, les récidives sont souvent très fréquentes. Et une fois que le virus est « réveillé », le pronostic est malheureusement sombre pour le chat à court ou moyen terme.

 

 

Cet article est dédié à la petite Carbone, cousine vendéene de Moskito et Bahia, décédée en août 2011.

 

Carbone

 

 

informations tirées de l'article de la chatterie de l'esprit d'edenvane (Lorraine)


06/08/2011
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L'ouïe du chat

 

L'OUÏE DU CHAT

 

                          

Le chat dispose d'une ouïe très fine et efficace.

 

Etant dotée de plus d'une douzaine de muscles, son oreille peut tourner jusqu'à 180°, l'aidant ainsi à percevoir le son, et à en déterminer son origine et sa fréquence.

 

Le seuil de perception du chat est bien plus élévé que ce lui de l'homme, avec un écart de deux octaves (20Khz pour l'homme contre 65Khz pour le chat).

 

Cette très bonne perception des aigues peut expliquer que nos amis poilus réagissent d'avantage aux voix des femmes et enfants qu'à celles des hommes (enfin ca dépend de certains...).

 

Ainsi, lorsque votre chat se redresse et prête l'oreille, c'est surement qu'il a entendu un son dont vous ne pouvez même pas imaginer l'origine!

 

En plus de sa faculté à percevoir les ultrasons, le chat est capable d'isoler un bruit parmi de nombreux autres. Son oreille interne dispose de trois canaux semi-circulaires et perpendiculaires entre eux, orientés dans 3 directions de l'espace, lui offrant un sens extraordinaire de l'équilibre.

 


14/05/2011
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Les boules de poils chez les chats

 

 

 

Et oui, nos félins sont très propres... mais celà peut avoir des conséquences sur leurs petits bidous!

Voici quelques explications...

 

En se lechant plusieurs fois par jour,  le chat ingère pas mal de poils (surtout chez nos amis à poils longs) avec sa petite langue toute rèche qui fait office de brosse à poils morts.

 

Selon la quantité de poils avalés celà peut former des "boules de poils" dans son estomac, plus ou moins grandes.

 

Ces boules de poils peuvent être éjectées plus classiquement en passant par l'intestinc et dans les excréments, sans causer aucun dommage pour le chat.

 

Mais il arrive aussi que leurs digestions entraine des gènes. Les plus petites seront rejetées par des vomissements.

Certaines seront difficilement digérés, entraînant par contre plusieurs vomissements sans rejet.

D'autre, plus rares mais aussi plus graves, lorsqu'elles sont trop grosses, peuvent rester coincées dans l'intestinc, entraînant un fort malaise de votre compagnon, avec une perte totale d'appétit et de forts troubles intestinaux (tremblements, plus de selles, vomissements, etc...).

Certaines provoquent même des occlusions intestinales, qui sans une intervention du vétérinaire, peuvent être fatales.

 

 

Comment prévenir ces boules de poils?

 

Il faut brosser régulièrement votre chat (une à plusieurs fois par jour selon la longueur de son pelage), surtout pendant la période de mue.

 

Lui donner des aliments avec une grande teneur en fibre. Il existe des compléments alimentaires très efficaces comme le "savorial" (souvent à base de malt, levain de bière, huile de foie de morue, etc...).

 

Petit bonus, ces aliments offrent souvent de la brillance et de la force aux poils vivants!

 

Si vous le pouvez, laissez lui de l'herbe à chat, qui aide le chat à vomir, en s'enroulant autour des boules et en facilitant leur régurgitation.

 

 

 


23/04/2011
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La vision du chat

 

 

 LA VISION DU CHAT

 

Le chat possède des pupilles à géométrie variable, s’ajustant en fonction de l’intensité lumineuse disponible.

 

Voici les deux positions extrêmes :

 

 

On peut considérer que les chats sont daltoniens, en effet, contrairement à l’idée reçue selon laquelle ils verraient en noir et blanc, ils ne perçoivent pas le rouge. La palette de couleur qu’ils perçoivent tourne autour du bleu et vert.

 

La rétine des chats contient plus de bâtonnets que de cônes (sont donc plus sensibles aux lumières qu’aux couleurs), et peuvent capter la moindre petite lumière, ce qui leur offre une excellente vision nocturne. Ils possèdent aussi une membrane réflectrice derrière la rétine, qui donne l’impression que leurs yeux brillent dans le noir.

 

Les chats disposent d’une vision binoculaire à 130°, mais leur champ de vision total couvre 287° (pour l’homme c’est 180°).

 

 

 

 

Certains chats ont les yeux vairons (de deux couleurs différentes), et même assez fréquemment, mais cela n’altère en rien leur vision.

 

 

 


09/04/2011
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Les moustaches du chat

 

 

 

Les moustaches du chat :

 

Appelées aussi « vibrisses », elles sont très précieuses pour lui.

 

On les trouve sur le museau, sur les pattes antérieures (vibrisses carpiennes), et à la place des sourcils. Elles sont extrêmement sensibles et peuvent avoir différentes formes selon les races de chat (courtes, longues, ondulées, rêches, frisées ou même recroquevillées).

 

Dans l’obscurité, les moustaches ont une fonction d’antenne et permettent aux boules de poils d’éviter d’heurter les obstacles.

Elles ont également une fonction de perception de la vitesse et de la direction du vent.

Le chat peut les utiliser pour mesurer la largeur d’un passage, pour localiser l’origine d’une odeur véhiculée par le vent.

Les vibrisses peuvent servir de « vivomètre », car en les avançant et en touchant sa proie il peut s’assurer que sa proie est bien morte avant de la lâcher.

 

Les catsounets s’en servent aussi pour saluer d’autres chats et pour éventuellement exprimer des émotions.

 

PS : Si votre chat en perd, ne vous inquiétez pas, elles repoussent...


05/04/2011
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Les 9 vies du chat

 

 

Les 9 vies du chat :

 

Il existe deux versions différentes qui expliqueraient la "légende" des 9 vies du chat.

 

  • La première associerait le chat à la sorcelerie à l'époque de l'inquisition. Une sorcière serait un être solitaire n'ayant qu'un chat noir comme animal de compagnie. Elle pouvait se transformer en chat, mais uniquement 9 fois. D'où les neuf vies du chat.
  • La seconde provient des anciens égyptiens, première population à domestiquer le chat il y a plus de 3000 ans. Le chat était vénéré, de part sa qualité de résistance (capable de sortir vivant d'une chute de forte hauteur), et d'échapper régulièrement à la mort en trouvant toujours un moyen de survivre lorsqu'il est en danger. Ils ont donc été amenés à croire qu'un chat disposait de 9 vies. Mais pourquoi 9? C'est un chiffre mystique, qui est composé de trois trois... (une trinité de trinité, c'est à dire groupe de trois fois trois dieux). Ils considéraient que se chiffre pouvait porter bonheur ou avait un pouvoir surnaturel.

Le chiffre 9 se retrouve dans les mythes et traditions d'un grand nombre de pays et régions du monde.

 


02/04/2011
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L'herbe à chat

 

 

 

 

Il existe deux types d’herbes à chat :

 

L’herbe à chat appelée cataire est une plante vivace faisant partie de la famille de la menthe. Cette herbe a certaines vertus hallucinatoires proches du comportement prénuptial, chez la plupart des chats. Elle contient du nepetalactone, molécule réputée pour son déclenchement supposé des phénomènes sexuels. Les chats aiment s’y rouler ou simplement se reposer à ses côtés. Elle n’entraîne aucun effet secondaire ni aucune accoutumance.

 

La deuxième, est composée de graminées (orge, blé ou seigle). C’est celle qui est la plus répandue dans les animaleries ou jardineries. Elle est réputée pour ses vertus digestives et permet au chat de se purger en régurgitant les poils avalés en se léchant.


28/03/2011
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Le chat européen et ses origines

 

 

 Photo du "Felix Libyca" 

 

   Le chat européen est originaire des espèces félines d'Afrique et Asie qui sont arrivées en Europe par les romains et les croisades.

Ils pouvaient trouver en lui le parfait animal de compagnie.

 

   Son origine exacte n’est pas tout à fait définie, mais la plus probable reste  celle des chats sauvages africains (félix libyca)

 

Ces traits physique :

  • Corps fort et corpulent (musclé)
  • Large tête
  • Pommettes développées
  • Nez droit
  • Yeux ronds
  • Poils courts
  • Fourrure douce, dense et pelucheuse

 

Son caractère :

  • Grande capacité d’adaptation
  • Intelligent
  • Chasseur
  • Affectueux
  • Timide
  • Propre

28/03/2011
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